Les aléas font partie de la vie. Au moment où vous vous y attendez le moins, un problème, un drame peut vous surprendre. Cela peut être un divorce, un licenciement ou le décès d’un être cher. Pour certains, le traumatisme psychologique peut être très douloureux et accablant. Ils peuvent passer un certain moment à culpabiliser et à se morfondre. S’ils n’arrivent pas à prendre le dessus, il leur faut de l’aide. Et vous, êtes-vous en quête d’une libération émotionnelle ? Aimeriez-vous tourner la page sur un épisode sombre de votre existence ? Dans l’affirmative, les prochaines lignes peuvent vous aider.
Prendre conscience que vous vivez un stress post-traumatique
De nombreuses raisons peuvent causer le syndrome de stress post-traumatique. Ce trouble psychiatrique survient chez les personnes ayant vécu un événement particulièrement douloureux. Outre le décès d’un proche ou la fin d’un mariage, les séquelles d’un accident peuvent aussi occasionner un syndrome de stress post-traumatique. Les soldats revenant d’une zone de guerre sont assez nombreux à souffrir de ce mal. Ce trouble psychiatrique peut survenir quelque temps après le choc émotionnel en question. En effet, l’organisme est rempli d’adrénaline qui permet de traverser l’épreuve. L’effet de cette hormone du danger peut persister quelques jours, voire des semaines. La sécrétion s’affaiblit à un moment ou un autre et les vrais symptômes apparaissent. Ainsi, les soldats revenant d’une zone de guerre commencent à manifester des troubles divers un mois après la démobilisation. Le même délai est constaté chez les personnes endeuillées ou celles qui ont perdu un emploi qui leur est cher. Un mois après le choc émotionnel initial, on peut avoir des palpitations. La difficulté à respirer peut vous atteindre fréquemment. Vous suez beaucoup dès qu’un détail vous rappelle l’événement malheureux. Les larmes et les sanglots sont aggravés par une perte de mémoire. Une profonde anxiété accompagnée d’une hyperactivité peut aussi apparaître. À un stade avancé, le stress post-traumatique occasionne des flashes et des hallucinations.
Faire des efforts pour contrôler les émotions ou consulter un spécialiste ?
Quand vous observez une accumulation des symptômes du syndrome du stress post-traumatique, il vaut mieux chercher de l’aide. La première chose à faire serait d’en parler avec les proches et les amis. Il est également nécessaire de se rapprocher d’un professionnel. Ce dernier peut être un coach en bien-être, un psychologue ou un homme d’Église. Dans tous les cas, le simple fait de parler des troubles émotionnels constitue un début de solution. Pour mieux affronter un traumatisme psychologique, outre les options médicamenteuses en clinique, il est nécessaire de faire de l’exercice physique et d’apprendre à respirer convenablement. Cela a pour effet de réoxygéner le cerveau. Votre libération émotionnelle vient de cet organe, non de votre cœur. Il est nécessaire d’avoir une prise de conscience de ses émotions. Les heures de thérapie servent aussi à cet effet. Le spécialiste aura pour rôle d’aller au fond de votre âme pour ressortir les rancœurs, la haine et tous les ressentis négatifs. Il faudra ensuite procéder à un petit ménage. La psychologie peut aider à oublier les pensées qui font mal. L’hypnose et d’autres méthodes alternatives sont aussi envisageables.